Géopolitique régionale de l Equateur: le triomphe de Chavel aux élections présidentielles 2012
De même que pour le reste de la région, pour l' Equateur, le triomphe du chavisme au sein des élections présidentelles au Vénézuela 2012 se sont ' avér fondamentale pour la géopolitique de l' Equateur ainsi que pour le bloc régional sudaméricain.
En effet les gouvernements latinoaméricains de centre gauche, voir néo socialiste, se sont rendus largement majoritaires sur l´Amérique Latine surtout en Amérique du Sud où des 12 pays sudaméricains, 8 pays (au moins) présentent des caractéristiques clairement neo-socialiste, c´est à dire un gouvernement situé idéologiquement à gauche .
La capacité stratégique communicationnelle du président Correa sera surement un des élément définitif pour profiter d´un contexte régional ultra favorable.
Résumé d'actualité nationale de l´Équateur
Malgré, la féroce guerre médiatique qui oppose le gouvernement du président Rafael Correa avec l'opposition politique équatorienne (il peut se constater une géopolitique communicationnelle interne similaire à celle du Venezuela et celle de l´Argentine ainsi que d´autres pays sud-américains), et de l´autre côté, le besoin immédiat invoqué par tous les secteurs politiques de la nécessité impérieuse de créer une nouvelle loi de communication* (dans l´actualité, une nouvelle loi est en train d´être examiné par l'Assemblée Nationale Equatorienne) qui assurerait le droit à la communication et à l'information, la liberté d'expression, ainsi que le renforcement de la participation communicationnelle de tous les citoyens, l´Équateur continue à soutenir un taux de croissance économique très acceptable malgré la crise financière
(*l´actuelle
réglementation de communication a été approuvé par la dictature militaire il y
a trois décennies.)
Les relations
entre les États-Unis et l´Équateur
Les élections présidentielles à s´effectuer aux étas Unis en novembre 2012 sont suivies de très
près par le gouvernement néo socialiste équatorien
que préside actuellement l´économiste Rafael Correa.
Malgré que les
relations entre le gouvernement de Correa et les Etas Unis ne trouvent pas dans
son meilleur moment (la visite officielle de Mahmud Ahmadineyad n´a pas été très appréciée par
la maison blanche, il est clair que le
gouvernement équatorien, de même que l´ensemble des pays latino-américains préfère clairement une réélection de Barack
Obama et la possibilité d'un rapprochement historique avec le grand frère du
nord ; que devoir combattre l'ultraconservateur Tea Party républicain.
D´autres postes géopolitiques concernant l´Amérique Latine 2012
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