Elections présidentielles mexicaines 2012 et l´enjeux du narcotrafic
Au sein des derniéres élections présidentielles mexicaines (1er juillet 2012), le PRI (Parti Révolutionnaire Institutionnel) reprend le pouvoir qu´il avait su conserver pendant 71 ans et qu´il avait perdu depuis l´année 2000. Le nouveau président c´est Enrique Peña Nieto, ex gouverneur de l´ Etat de México, l´état le plus peuplé du Mexique.
Une nouvelle défaite du PRD, du centre gauchiste López Obrador.
La legalisation de la cocaïne latinoaméricaine, le seul chemin?
Resoudre le problème du narcotrafic s avère un des défis fondamentaux pour le prochain gouvernement mexicain.
La question est posépar de nombreux présidents latinoamericains qui se sont prononcéa faveur de la légalisation de la cocaïne, Iniciative du président colombien Juan Manuel Santos."
"C' est l ilégalité de la drogue qui fait fort le narcotrafic, il faut combattre sa rentabilité" coincident la plupart des géopoliticiens latinoaméricains.
Les élections présidentielles mexicaine en 2012: nouvelle possibilité pour la puissante émergente endormie.
Les élections présidentielles mexicaine en 2012 présente dux scénarios géopolitiques
a)Tournant au sujet du narcotrafic (peu probable)
b)Confirmation que le fléau de la drogue, plus précisement de la cocaïne, (presque 50.000 mort depuis 2006) soutenu par l´énorme consommation étasunienne s´avère trop forte pour le Mexique, projet de puissance émergente latino-américaine qui n´arrive pas encore à décoller.
Le problème du narcotrafic y est pour quelque chose dans cette pseudo paralysie mexicaine.
Loin dans l´horizont, la legalisation de la cocaïne semble apparaître comme la seule solution. Le monde malheureusement ne semble encore preparé pour un tel pari. Le Mexique pour l´instant subit les conséquence. Le PRI et PRD, deux opposants avec le même ennemi en commun: la narco-violence.
Une nouvelle défaite du PRD, du centre gauchiste López Obrador.
La legalisation de la cocaïne latinoaméricaine, le seul chemin?
Resoudre le problème du narcotrafic s avère un des défis fondamentaux pour le prochain gouvernement mexicain.
La question est posépar de nombreux présidents latinoamericains qui se sont prononcéa faveur de la légalisation de la cocaïne, Iniciative du président colombien Juan Manuel Santos."
"C' est l ilégalité de la drogue qui fait fort le narcotrafic, il faut combattre sa rentabilité" coincident la plupart des géopoliticiens latinoaméricains.
Les élections présidentielles mexicaine en 2012: nouvelle possibilité pour la puissante émergente endormie.
Les élections présidentielles mexicaine en 2012 présente dux scénarios géopolitiques
a)Tournant au sujet du narcotrafic (peu probable)
b)Confirmation que le fléau de la drogue, plus précisement de la cocaïne, (presque 50.000 mort depuis 2006) soutenu par l´énorme consommation étasunienne s´avère trop forte pour le Mexique, projet de puissance émergente latino-américaine qui n´arrive pas encore à décoller.
Le problème du narcotrafic y est pour quelque chose dans cette pseudo paralysie mexicaine.
Loin dans l´horizont, la legalisation de la cocaïne semble apparaître comme la seule solution. Le monde malheureusement ne semble encore preparé pour un tel pari. Le Mexique pour l´instant subit les conséquence. Le PRI et PRD, deux opposants avec le même ennemi en commun: la narco-violence.
Géopolitique du narcotrafic méxicain 2012
Les experts en géopolitique latinoaméricaine se demandent sur le futur de la nation mexicaine, tenant compte du fait que d'une part que les "cartels" de la drogue du Mexique n'ont jamais été si puissants et que d'autre part, depuis l´implantation d´une politique militariste de la part de l'actuel Président Calderón, une violence sans précédent s´est installée dans le pays latino-américain. La guerre du narcotrafic méxicain compte déja 50.000 morts depuis 2006 . L'État mexicain semble lui-même avoir perdu dans certaines villes, le contrôle territorial du pays. Ce n´est pas une nouveauté, l´état mexicain n´est pas souverain de son territoire, puisqu´il ne contrôle pas la totalité du même.
Pour de nombreux experts en géopolitique latinoaméricaine du narcotrafic, à partir de 2012, en cas de victoire du PRI, ce qui pourrait être en tain d´émerger, c´est une narcodictature, c'est-à-dire un accord officieux de cohabitatio entre les forces de l'ordre de l'état mexicain et les différentes cartels de la drogue du même pays.
Cet état de violence permanente est la principale cause d´un flux de milliers de "narco-réfugiés" qui fuient les zones méxicaine de la drogue, tandis que les demandes d´asiles politiques se multiplient également par milliers aux près des ambassades des Etats-Unis et d'autres pays.
Le caractère « urbain » des mouvements armés du narcotrafic mexicain, clairement différents aux mouvements armés du narcotrafic colombien, de tendance plutôt « rural » représente un obstacle réel pour les forces militaires étatiques au moment d´assurer le contrôle de certains territoires.
La proximité des Etats Unis, principal pays consommateur du monde, semble également s´avérer trop puissante pour la géopolitique mexicaine. De plus l´aide financières des Etats Unis pour combatre les puissants baron de la drogue mexicaine reste insufisante. La legalisation de la drogue » un des grands enjeux pour la société méxicaine et mondiale
Les chiffres des morts victimes du narcotrafic 2011
Une moyenne de 48 exécutés par jour tout au long de 2011 et un total de 12.903 morts victimes de ce que l´on appelle cette "narco-guerre mexicaine" dans les derniers neuf mois. Les chiffres de la violence qui frappe le Mexique depuis que le président Felipe Calderón a lancé en 2006 l'offensive contre les "cartels" de la drogue révèlent l'ampleur permanente de la narcoviolence. La Procaduría Générale de la République (PGR) a fait connaître cette semaine les chiffres des narcomorts. Les statistiques globales peuvent ainsi être traduites : 27 personnes mortes par jour, 819 chaque mois, 9830 par année pour un total de 47.515 homicides comptabilisés jusqu'au 30 septembre 2011. Les ONG et les analystes en géopoltique du narcotrafic calculent que si on élargit les calculs jusqu'à décembre 2011, l'année 2011 pourrait avoir fini avec 17.000 morts, victimes de cette guerre entre les cartels de la drogue et l'État mexicain.
Principaux cartels de la drogue au Méxique (click sur le lien pour plus d´information sur chaque cartel méxicain)
Le caractère « urbain » des mouvements armés du narcotrafic mexicain, clairement différents aux mouvements armés du narcotrafic colombien, de tendance plutôt « rural » représente un obstacle réel pour les forces militaires étatiques au moment d´assurer le contrôle de certains territoires.
La proximité des Etats Unis, principal pays consommateur du monde, semble également s´avérer trop puissante pour la géopolitique mexicaine. De plus l´aide financières des Etats Unis pour combatre les puissants baron de la drogue mexicaine reste insufisante. La legalisation de la drogue » un des grands enjeux pour la société méxicaine et mondiale
Les chiffres des morts victimes du narcotrafic 2011
Une moyenne de 48 exécutés par jour tout au long de 2011 et un total de 12.903 morts victimes de ce que l´on appelle cette "narco-guerre mexicaine" dans les derniers neuf mois. Les chiffres de la violence qui frappe le Mexique depuis que le président Felipe Calderón a lancé en 2006 l'offensive contre les "cartels" de la drogue révèlent l'ampleur permanente de la narcoviolence. La Procaduría Générale de la République (PGR) a fait connaître cette semaine les chiffres des narcomorts. Les statistiques globales peuvent ainsi être traduites : 27 personnes mortes par jour, 819 chaque mois, 9830 par année pour un total de 47.515 homicides comptabilisés jusqu'au 30 septembre 2011. Les ONG et les analystes en géopoltique du narcotrafic calculent que si on élargit les calculs jusqu'à décembre 2011, l'année 2011 pourrait avoir fini avec 17.000 morts, victimes de cette guerre entre les cartels de la drogue et l'État mexicain.
Principaux cartels de la drogue au Méxique (click sur le lien pour plus d´information sur chaque cartel méxicain)
Cártel de los Beltrán Leyva
Relation avec l´Union Européenne
Caballeros templarios (cártel)
La Familia Michoacana
Cártel del Golfo
Los Negros
Cártel de Sinaloa
Cártel de Tijuana
Los Zetas
Le Brésil vs le Méxique pour le leadership latino-américain
Aujourd´hui, le mexique, le géant latino-américain, ne semble pouvoir réveiller encore. Le Brésil de Dilma Rousseff au jour d´aujourd´hui continue à prendre un devant considérable en tant que leader incontesté de la région latinoaméricaine. La Familia Michoacana
Cártel del Golfo
Los Negros
Cártel de Sinaloa
Cártel de Tijuana
Los Zetas
Le Brésil vs le Méxique pour le leadership latino-américain
Relation avec l´Union Européenne
Depuis l´année 2008, l´Union Européenne (UE) a décidé d´octroyer au Mexique le statu de "partenaire stratégique" en matière de relations internationales.
Le terme "partenaire stratégique" fait référence à une relation privilégiée que les européens maintiennent avec très peu de pays du monde. Par exemple, en Amérique Latine, seulement le Brésil bénéficie de ce statu.
C´est en 1997, que le gouvernement du Mexique et le bloc régional européen ont souscrit le premier accord de partenariat entre un pays latino-américain et l´Union Européenne.
Ce fut néanmoins, le Brésil de Lula, le premier pays du continent latino-américain à être qualifié comme partenaire stratégique par l´Union Européenne. C´est seulement à l´année suivante que le Mexique recevrait le même titre.
Le Mur d´Arizona
La nouvelle loi du 23 de avril du 2010 promulguée par la gouverneure républicaine Jan Brewer, qui criminalise la situation des immigrants illégaux et qui permet la détention de toute personne "soupçonnée" de se trouver en situation migrante irrégulière a soulever une vague d´indignation populaire et médiatique; non seulement de la part du gouvernement de Felipe Calderón sinon en plus, les proteste sont parvenus du même côté mexicain.
Il s´avère tout de même nécessaire de rappeler que le nombre d´immigrants illégaux dans l´Etat d´Arizona parvient 450.000 pour une population totale de 6,5 millions.
Si bien il est vrai que les lois de decentralisation permettent aux differents Etats americains prendre ce genre de decision politiques, de nombreux observateurs de la geopolitique latinoamericaine alertent sur les possible s consequences que cette nouvelle loi aurait dans les relations entre le Mexique et les Etas Unis.
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